mardi 28 janvier 2014

A Carcassonne, il faut un électrochoc

La vie est si douce dans notre ville et les Carcassonnais sont tellement habitués à une mauvaise gestion, qu'ils ne se rendent même plus compte des carences hallucinantes dont souffre notre ville, y compris en tant que  Préfecture. Sans imagination, expédiant plus ou moins bien les affaires courantes  depuis plusieurs mandats ,  nos élus  se sont résignés à considérer comme irrémédiable notre déchéance et ne voient pas Narbonne nous dépasser en tous points.
Si nous ne nous réveillons pas, nous perdrons la Préfecture, le 3e RPIMa, les jeunes, les magasins du centre-ville, les sportifs et notre Cité restera ce magnifique monument où les touristes restent 2h et achètent des épées en plastique pour leurs enfants sans rien insuffler dans le commerce et l'hôtellerie locale.
Déjà, il faut rendre notre ville propre, sure, fleurie, et ce n'est pas très compliqué à réaliser si on s'entoure d'une équipe de professionnels actifs. Ce que vous trouverez quand je présenterai ma liste. Citez-moi un seul adjoint qui soit actuellement à sa place en raison de son cursus professionnel, ce qui ne remet pas en cause leur bonne volonté. La sécurité, la propreté, c'est la base, l'incontournable. Je les promets, sans coût excessif et surtout SANS ENGAGER encore plus de personnel municipal (je vous joints l'article du POINT) comme l'ont fait au fil des ans, par couches successives Gérard Larrat et Jean-Claude Perez.
Ensuite il faut faire venir des employeurs, des start-up (jeunes pousses), des entreprises petites comme grands groupes. Et miser sur notre atout incontournable, le Tourisme. Tout est possible si on prépare l'infrastructure minimum et obligatoire qui vont rendre possible cet élan d’ouverture et de réussite que nous méritons. Ce que je ferai. C'est là qu'il faut, avec la Communauté de Communes, le Département, la Région, l'Etat, investir. Nulle part ailleurs ! Et surtout pas dans du personnel que l'on ne fait pas travailler et à qui on ne confie aucune responsabilité, qui n'en est pas heureux. La plupart n'est là que pour se mettre à l'abri parce qu'il n'y a pas de travail ailleurs. Pour le plus grand nombre, c'est tout sauf une vocation.
Pour le reste, les infrastructures sportives, festives, j'attirerai des investisseurs privés. Je me moque d'avoir un stade Nike, un complexe aquatique Dive Inn ou un complexe sportif Décathlon. Du moment que ces structures se mettent en place, notre investissement se limitant à la viabilisation.
Pourquoi et comment en Vendée, au milieu de nulle part, Philippe de Villiers (personnage que je ne cautionne pas par ailleurs) a réussi à créer cette merveille, le PUY DU FOU. Il n'y a là-bas aucune légitimité, aucune histoire, qui rattachent ce canton à l'époque médiévale, c'est au départ un territoire essentiellement  agricole. Nous avons notre Cité et sommes connus dans le monde entier. Dans un emplacement  en vue de la Cité, nous pourrons initier un parc sur ce thème en créant une association loi 1901, actionnaire à 99% d'une société par actions simplifiée (SAS)  qui  s'autofinance à 100 %.
Comme par ailleurs, nous irons chercher les touristes chez eux (Japon, USA, Europe...) en proposant des cartes-séjour à thème, low cost, de plusieurs jours, les gens ne viendront plus chez nous par hasard comme dit une enseigne connue. 
Ces axes de développement et de relance formeront un tout cohérent, l’un épaulant l’autre pour donner à notre cité l’attractivité et le renom tels qu’elle l’a connu il n’y a pas si longtemps…
Voilà ce que je veux faire, ce que je peux faire (cela fait des années que j’y pense et que je prends des contacts) et que je vous propose de faire ensemble.


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