mardi 11 mars 2014

Aujourd'hui, Conférence de presse sur le Sport

Conférence de presse sur le Sport à Carcassonne

Personne ne pourra nier que je suis, de tous les candidats à ces municipales, celui que le sport intéresse le plus. Je couvre sans interruption depuis 1972 tous les JO d’hiver et d’été, sauf Sotchi cette année, j’ai couvert 25 Tours de France en intégralité, ainsi qu’un grand nombre de Championnats du Monde, natation, athlétisme, lutte, gymnastique, patinage artistique ski, altérophilie … et aussi les Coupes du Monde de foot, de rugby et autres. Et Roland Garros, et les Grands Prix de F1.
Sans compter que j’ai été vingt ans licencié à l’ASC Cycliste où j’ai pratiqué la compétition. J’ai ensuite été entraîneur de l’équipe nationale de Yougoslavie, Conseiller en communication de plusieurs équipes cyclistes professionnelles, en Belgique, en Espagne, en Russie, en Lituanie. J’ai même couru en compétition Handisport après un terrible accident, et je m’occupe activement de l’équipe de France de CECIFOOT, le foot pour aveugles.
Mon ami Nelson Monfort qui sera là vendredi à 16h chez Breithaup pour une conférence suivie d’une séance de dédicaces de son dernier livre « Sport, mes héros et légendes » dit que je suis le meilleur spécialiste de tous les sports qu’il connaisse.
Le mardi 18 mars, pour mon meeting, Marielle GOITSCHEL
Bref. Le Sport c’est ma vie, ma passion comme celle que j’entretiens pour MA VILLE.
Je suis pour le sport pour tous, mais pas seulement. Je veux faire vibrer ma ville devant de belles victoires. Je veux retrouver des Pipette, Malrieu, Jean Barthe, Jeannot Cabrol, Félix Bergèze, Patrick Boccardo, Mimi Parguel, Automne Pavia, Pierre Campagnaro, Pierre Martelozzo, Alain Le Hetet, Pancho Segura, le Pacha, Cassin, Teoule.
Je veux que notre ville brille par le sport. Il y a du chemin à parcourir !





Lionel Ahier

Je rencontrerai les associations sportives bien sûr, mais je pense déjà savoir combien elles sont en manque de moyens et même de licenciés. Le manque d’infrastructure crève les yeux dans notre préfecture. Nous n’avons rien qui ne soit pas de guingois, mal foutu.
Ce manque d’infrastructure, c’est le plus criant. Même ce que nous avions a été détruit comme cette piste de vélodrome à Domec où nous pouvions organiser des courses internationales, étant donné qu’il n’y en avait pas d’autre dans toute la région Languedoc-Roussillon, ce qui obligeait l’équipe de Jean-François à aller chaque semaine s’entrainer à Montauban. Elle a été détruite pour créer une piste d’athlétisme qui n’est pas aux normes et où il est donc impossible d’organiser des manifestations, alors qu’à l’époque l’ASC Athlétisme était Championne de France des lancers, devant le racing club ou Bordeaux.
Ce stade de Domec est dépassé, obsolète, pas aux normes pour des rencontres d’importance, pas possible pour la télévision, et ce n’est pas en ajoutant une tente ou une tribune exposée au vent et au froid que la municipalité actuelle en a corrigé l’indigence. Ce stade a eu ses heures de gloire, il sera consacré à tous les champions et clubs de la ville car nous voulons en faire un musée à la gloire de nos anciens.




Patrick Acosta

Et nous construirons un stade, avec une vraie piste d’athlétisme. Ne pensez surtout pas que nous faisons des promesses électorales à la Hollande. Cette construction d'un stade aux normes internationales est OBLIGATOIRE. Et, même si je n’ai pas l’ambition d’un Jean-Michel Aulas à Lyon qui a réussi à construire le stade des lumières pour l’O.L. avec des financements privés, je ne veux, là aussi, que rattraper Narbonne et c’est faisable. Les transformations et travaux de Larrat-Perez à Domec ont coûté plus de 3 millions d'euros dont la ville a assumé l'essentiel du coût, aidée par le Conseil Général et le Conseil Régional, donc uniquement financé par nos impôts. Ce n’est pas de cela dont il est question dans notre projet. Il est bien question de financements privés, quitte à appeler ce stade Coca-Cola, Cochonnou ou Nike, et même d’un emprunt à la population. Ces actions seront très vite beaucoup plus rentables que notre cher livret A. Jean-François n’augmentera pas les impôts mais il offrira aux Carcassonnais, ainsi, de nombreuses occasions de s’enrichir en privilégiant les sociétés carcassonnaises. Le projet sera tentant et rentable, nous ferons certainement appel aux plus grands architectes dans ce domaine, qui savent parfaitement ce qu’un budget veut dire. Nous ne créerai certainement pas le gouffre de Monsieur Larrat et son parking. Nous sommes des professionnels, nous savons ce qu’une dépense veut dire.




Jean-François DARAUD

Je rappelle, pour rassurer les plus incrédules, que Carcassonne est connue dans le monde entier et que j’ai pu me rendre compte au cours de mes très nombreux rendez-vous avec des sponsors et financiers que son seul nom fait briller leurs yeux. Pour eux, accoler notre logo Carcassonne à leur marque est très attrayant, certainement plus que Pays Cathare…
Et rappelez-vous que ce que je fais, je le dis mais que ce que j’ai dit, je l’ai toujours fait !




Anaïs Charbonnier

De la même manière, nous ferons des appels à financement pour une Piscine Olympique où l’on pourra organiser des compétitions internationales. Aujourd’hui nos futurs champions vont à Trèbes.  Nous créerons aussi un centre aqua-ludique, toujours très attractif pour les petits, et très rentable quand on a le flux de touristes que la Cité draine, inutilement aujourd’hui, rentablement demain.
Dans l’Aude, la plus grande fédération c’est la pétanque. Mais pourquoi pas… On peut en profiter et organiser des championnats, comme à Marseille.




Margareth Escortell

Sachant que nous avons le devoir de faire rêver les jeunes, que ceux-ci prennent des licences dans les sports où ils peuvent admirer une équipe gagnante et sachant que les finances de la ville sont au plus bas, nous cesserons de saupoudrer nos aides. En accord avec les villes de l’Agglo qui pourront faire d’autres choix et prendre en charge d’autres sports, il faudra sélectionner l’équipe sur laquelle nous porterons tous nos efforts dans le but de la hisser au sommet. Le foot, le XIII, le XV, le handball, le volley-ball, le basket seront candidats. Nous ne déciderons pas seuls, nous ferons appel à un référendum dans la population. Ce sont les Carcassonnaises et les Carcassonnais qui choisiront.



Billy

Nous ferons un référendum municipal afin d’élire une équipe de sport de plein air et une équipe de sport de salle. Chacune de ces équipes-là,  qui auront l’honneur de représenter Carcassonne, seront choyées, poussées, aidées, et nous saurons en faire de grandes équipes comme Guy Roux a su installer l’AJ Auxerre avec plus d’intelligence que de moyens. Et en quelques années, parce que nous connaissons toutes les ficelles du métier, ces équipes atteindront forcément le niveau international. Ainsi les stars se déplacent, attirent du public et de nouveaux licenciés. Car le sport d’élite est une locomotive pour le sport de masse. Nous aurons ainsi au moins deux associations sportives d’élite qui draineront des licenciés.
Regardez les exemples de villes de notre taille : Narbonne est en 1ère division en volley, Perpignan a réussi en XIII et en XV, Sète en volley, triathlon, un pôle d’entraînement de l’America’s Cup, Lattes Champion de France de basket. Pourquoi en serions-nous moins capables ?




Julie Legendre

Le seul sport qui soit plutôt bien installé à Carcassonne, et c’était du temps de Chesa donc nous devons regarder bien en arrière, c’est le tennis. Pour créer un centre plus important, nous proposons de fusionner Acacia et ASPTT, comme cela a été fait, une fois de plus à Narbonne. Pour augmenter le nombre de licenciés, il faut savoir attirer les jeunes. Mais les licences fixées par les fédérations sont parfois d’un coût élevé que certaines familles ne peuvent pas s’offrir. Nous proposons de mettre en place un chéquier-jeune .




Lionel Ahier

Sous l’impulsion de Jean-François, Carcassonne pourra enfin organiser des Grands Championnats de France et d’Europe, et ceci dans plusieurs disciplines.
Nous n’oublierons pas le Handisport, actuellement les paralympiques se déroulent à Sotchi, et  avec son expérience Jean-François sait ce qu’il faut faire pour eux.




Jean-François DARAUD

Avec les contacts que j’ai gardés du temps de mon passage à la Présidence du XIII, j’ai les contrats qui sont toujours en attente. Pour le XIII, on ne m’avait pas laissé le temps de le faire, je fédérerai Carcassonne, Limoux et Lézignan pour qu’enfin une grande équipe audoise puisse tutoyer la Super League. Ce que Bernard Guasch, marchand de viande, à su faire à Perpignan, Daraud le fera à Carcassonne. Et au XV, en fédérant Narbonne, Carcassonne, Quillan, Castelnaudary, notre équipe audoise sera au TOP   14. Inspirons nous des provinces irlandaises.



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